Plus on grimpe en altitude, plus la pression atmosphérique chute. La proportion d'oxygène reste inchangée (20,9%), mais l'air étant moins dense, les molécules d'O2 se dispersent. Pour un même volume d’air inspiré, c’est donc une quantité réduite d'oxygène qui parvient aux alvéoles pulmonaires.
La baisse de la pression partielle d'oxygène diminue la capacité de diffusion de l'oxygène dans le sang et dans les tissus. L'organisme se retrouve en hypoxie.
Pour palier le manque d'oxygène, l'organisme déclenche alors une série de mécanismes physiologiques qui visent améliorer le transport d'O2 dans le sang et les tissus et le rendent, au final, plus performant.
Le générateur d'hypoxie reproduit les conditions de l'altitude en matière de teneur en oxygène, par un procédé physique de filtration des molécules d'O2 (tamis moléculaire).
Avec un générateur d'altitude, il devient possible de dormir à une altitude équivalente à celle de Font-Romeu (1850 m), Ifrane au Maroc (2200 m), Iter au Kenya (2700 m) ou même plus haut jusqu'à 3500 m, sans effort, sans avoir à bouger de chez soi.
Les mêmes causes produisant les mêmes effets, s'entraîner avec un simulateur d'altitude permet à une série d'améliorations physiologiques de se mettre en place, de la même façon que cela se produirait en montant en altitude.
En seulement 3 ou 4 semaines, de façon complètement naturelle, le Training Hypoxie améliore les variables physiologiques essentielles à la performance :
Ce n'est pas par hasard si les plus grands athlètes comme Mickael Phelps, le champion olympique le plus titré de tous les temps, ont intégré depuis longtemps le Training Hypoxie à leur préparation.